INTRODUCTION
Tantôt froide, tantôt plus chaleureuse, souvent repoussée, quelques fois désirée, mais toujours inéluctable... Tel est le portrait que l’Homme dresse de
Nous passons une partie de notre vie à mourir, la vieillesse nous y mène doucement. D’un point de vue plus scientifique, la mort ne concerne pas uniquement l’organisme entier, mais aussi chacune de nos cellules. En moyenne, environ un million de cellules meurent chaque jour.
Cette mort organisée et méthodique des cellules conduit, lentement mais sûrement, à la mort au sens général. Cependant, ce phénomène peut-être ralenti et parfois retardé grâce à divers facteurs.
L’immortalité est un terme plus large qu’on ne peut définir d’un seul point de vue. On nomme généralement immortalité le fait d’échapper à la mort et d’exister pour une période de temps indéfinie, voir éternelle. Ces quelques dernières années, les recherches menées dans ce cadre ont été fructueuses, remettant sur le devant de la scène des questions qu’on avait jusque la gardées entre parenthèses.
Qu’est-ce que la mort ? Comment la définit-on aux différentes échelles de l’organisme ?
Comment peut-on retarder le moment tant redouté qui caractérise la mort de notre organisme ?
Quelles sont les espèces qui relèvent le défi contre la mort et comment réussissent-ils à le faire ? Quelles sont celles ont vaincu la mort ?
Nous répondrons lors de notre travail a toutes ces interrogations intermédiaires afin de trouver une réponse à la question que l’on se pose sans espère trouver echo :
L’Homme pourrait-il un jour être immortel ?